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| Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) | |
| | Auteur | Message |
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Gabi Houston
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| Sujet: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 15 Juil - 11:27 | |
| Depuis combien de temps je survis seule, je ne saurais le dire en fait ! On dit, quand on aime, on ne compte pas, mais là c’est vraiment pas le cas, c’est le moins que je puisse penser ! Non mais, une invasion de zombies dans ma ville, ils n’auraient pas pu aller à Atlanta ? Non, ici, pour bien m’embêter. Je vous jure, et en plus, la ville est mise sous quarantaine, et les volatiles qui se nourrissent chaque jour de chair zombie et deviennent des piafs zombies, les autorités les tuent tous avant qu’ils quittent la zone contaminée ? Si ça se trouve, le reste du monde est lui-même peu à peu infecté par le virus mais pour le moment, ce n’est pas la façon de raisonner. Il me faut survivre en espérant quitter la ville. Dire que j’étais retournée avec mon unité SWAT pour sauver le plus de civils possibles, alors qu’au final nous avions surtout récupéré des échantillons pour une sombre boite pharmaceutique avant d’être laissés sur place comme des kleenex jetables. Dire que je pensais que mon retour en ville serait pénible seulement si je croisais par hasard mon ex, j’étais loin du compte ! Le groupe s’était disloqué sous les assauts zombiques et mutants, et depuis ce jour, j’évolue seule par ci, par là, cherchant d’autres survivants. Et puis je les vois même s’ils sont loin, toute une expédition visiblement organisée et qui explore le centre commercial tout comme moi, mais à un niveau différent, et puis je suis seule, alors qu’eux attirent l’attention des morts vivants qui se mettent à venir vers eux par vagues de plus en plus denses. Quelle bande d'affamés ces zombies.
Ho le guêpier !
Comment que je peux les aider moi, je suis pas une armée à moi tout seule. Je les vois néanmoins effectuer un replis stratégique vers une issue qui ne débouchera pas sur une autre masse de morts vivants, en suivant une tactique quasiment militaire qui m’est familière. En tout cas, c’est bien vu, le soucis, c’est qu’ils ignorent qu’ils vont se heurter à une porte blindée fermée de leur coté, et ils n’auront ni les moyens, ni le temps de la faire sauter. Moi par contre, je peux atteindre l’autre coté d’où je suis et leur ouvrir la porte. Pourvu qu’ils survivent jusque-là, si ça continue je vais parler toute seule, ou pire, parler aux zombies ! La fin du monde, je vous jure, ça craint.
C’est parti.
Je passe sous le courant d’air, esquivant l’odorat d’un petit groupe de zombies. Hop, là, un mutant à contourner, puis une grille d’aération. C’est bien elle, décidément, je suis solid gabi, mais tu vas t’ouvrir, saloperie de grille, et sans faire de bruit !
Mission accomplie, plus qu’à rejoindre le point de rencontre avec les autres survivants, à l’insu de leur plein gré, parce qu’ils ignorent encore mon existence, avant qu’ils servent de repas gastrnomique aux zombies. | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 15 Juil - 20:17 | |
| Courir, encore et toujours. Depuis mon lever, c'était une journée de merde. J'avais réussi à me brouiller avec Divinity, et manqué de planter la jeep qui menait mon équipe de ravitaillement vers son but, le Centre Commercial. Le bruit avait alerté les Marcheurs et nous avait improvisés comme cibles faciles, ce qui ne manquerait pas de nous foutre en l'air. Chance pour moi, l'équipe 2 était constituée en majeure partie d'anciens flics et de militaires, qui sauraient garder la tête froide dans la tourmente. Moi qui me prenait la tête pour des broutilles, je risquais de les compromettre eux. Quel leader pitoyable je faisais, vraiment ! Il fallait que je me concentre, que j'oublie Div' et mes pulsions tant incestueuses que colérique pour pouvoir vivre le moment à fond. Il était hors de question que je crève ici, que mon équipe serve de buffet à tout ces bâtards pourrissants de zombies !
Bon an mal an, on avait pénétré Cross Roads Mall en suivant une technique de diversion du SWAT que nous avait filé un ancien du RRTS, Dave Garisson. Ce vieux Garisson avait fait ses classes avec Gabi, m'avait il dit. Un chic type, un blond gaulé comme un viking de Bd et qui n'avait peur de rien. Il s'était fait mordre en protégeant un gamin d'un groupe de Marcheurs et avait préféré se faire sauter le crâne lui-même plutôt que de devenir un mort sans âme. Sacré bonhomme, qui avait formé de nombreuses personnes dont moi. J'aurais pû être dans le RRTS, m'avait-il dit avant s'exploser de son rire fort et jovial. Maintenant, Garisson était mort mais ses manoeuvres lui survivaient, nous permettant de rester toujours un peu plus en vie. Merci, Garisson. On se retrouve tout les six à passer dans les coulisses du centre commercial, là où par le passé les vendeurs et autres commerciaux passaient d'un magasin à l'autre, comme les livreurs et les transporteurs de fonds. On court en silence, communiquant par gestes pour minimiser les traces de notre présence. Mais Connie se plante et tombe à plat ventre, hurlant par reflexe que sa cheville est brisée. Elle ne se rend compte de son erreur que lorsqu'une vitre vole en éclats pour laisser passer une dizaine de Marcheurs qui viennent lui bouffer les intestins. Quelqu'un toruve le temps d'abattre Connie d'une balle dans la tête, pour qu'elle ne souffre pas davantage. C'est un cadeau pour elle, mais une malédiction pour nous : c'est la cloche qui signale le plateau repas. Merde, merde, merde !
- Leader, normalement on peut passer dans l'autre partie du magasin un peu plus haut dans le couloir ! On foutra quelques portes entre eux et nous, et...
Le bruit d'un corps qui heurte une porte me parvient alors que je franchis le tournant. Une porte blindée se dresse entre notre groupe et la sortie tant attendue. Les zombies nous talonnent, impossible donc de faire demi-tour pour tenter de prendre une issue quelconque. L'équipe 2 hurle et jure, crie sa rage. On est finis, et ça fait mal au cul de l'admettre. Et puis on s'adosse à la dite porte, on recharge et on pointe nos flingues vers le couloir d'où arrivent les grognements ignobles des zombies. Quitte à y passer, autant leur faire bouffer du plomb, à ces cons. Armant le chien de mes Deserts, je rive mes yeux sur le tournant d'où va surgir la mort et je m'adresse à mon équipe.
- Celui qui en bute le moins paiera la première tournée au bar de l'Enfer, les gars.
Des petits rires nerveux, des voix qui s'élèvent pour dire qu'elles tiennent le défi. Des canons d'armes à feu qui se dressent autour de moi alors que j'ai une pensée pour Divinity et pour Gabi. Ma soeur va m'en vouloir de crever ici, j'en suis sûr. Quant à Gabi... Bah, si elle vit toujours elle ne l'apprendra peut-être jamais et si elle est déjà morte, on baisera dans les flammes du démon.
- J'aurais quand même préféré un bon vieux lit.
Et alors que cette phrase pour moi-même meurt dans ma gorge, je presse la détente et ouvre le feu sur le premier zombie à se ruer sur nous. Ca va pisser du plomb, foi de Macross ! | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 15 Juil - 21:08 | |
| Ramper, encore et encore. Mon treillis est en piteux état, mais bon, un peu plus, un peu moins, et puis si je ne me dépêche pas, je vais trouver les survivants en train d'être mastiqués par les cannibales de service. Je me dépêche donc et j'aboutis à la sortie du centre commercial, devant la porte blindée. Ca, c'est du sens de l'orientation, même Nevan me l'enviait mais bon, il savait toujours trouver le chemin de ma chambre, et sa langue agile, le chemin de mon intimité. J'essaie de ne pas y penser mais il a du trouver la mort de façon héroïque après l'accident, genre en sauvant la veuve, l'orphelin ou pire encore, sa soeur, mais bon, en même temps ce serait normal. Autant ne pas penser à ça, donc, et je vérifie que le champs est libre avant de déverrouiller le système de fermeture qui s'ouvre, devenant ainsi un système d'ouverture. Haha. Évidement, pas de courant, pas de bouton, donc je tire une grande barre en fer, avec mes petits bras musclés, et sésame ouvre toi, la porte blindée glisse sans un bruit. Aussitôt, l'air résonne de tirs d'armes automatiques, signe que les survivants sont toujours en vie et descendent en masse les zombies qui rappliquent toujours plus nombreux.
"Woa, mais c'est fort Alamo version zombie. On me tire pas dessus, je suis pas une mordue, on sort et plus vite que ça ! Zou, zou z ..."
J'ai bien fait de parler, des gus avaient pointé leur fusil d'assaut vers moi dès l'ouverture de la porte, et je suis quasiment sure qu'un d'entre eux m'aurait allumée si son arme n'avait pas été vide à ce moment-là. Ni une ni deux, ils passent l'un après l'autre pendant que je sors mon petit speech quand je le vois et m'interromps de moi-même. Pendant un instant, mon cerveau semble tourner à vide alors que je reconnais aisément Nevan qui semble lui-même surpris de me voir là mais franchit la porte avec des zombies quasiment sur les talons. Enfin, moins parce que quelqu'un a balancé une grenade dans le tas de chair pas assez morte, ce qui nous laisse le temps de fermer la porte blindée avant que les morts vivants s'invitent aux retrouvailles. Ce n'est qu'un court répit, mais je suis là, à regarder Nevan comme si c'était aussi incroyable que la vision d'une vache affublée d'une cape de super héroïne et volant au secours des peuples opprimés. Il me regarde, je le regarde, et voila le seul mot qui sortent de ma bouche à cet instant précis :
"Bhou."
Si j'ai l'air d'avoir vu Super Vache, lui a l'air de voir une revenante, alors bon. Pendant ce temps, les autres sécurisent la zone, pour un départ vers une destination qui m'est inconnue mais ce sera toujours mieux que rester planté là, ouep. Ha non, y en a qui reste planté là, me regarde, regarde Nevan, me regarde et alors, mais c'est qu'il parle.
"Vous êtes Gabi."
"Bingo."
Que je réponds sans quitter des yeux mon ex toujours aussi attirant, même dans cette situation dangereuse, mais bon, l'adrénaline, tout ça. En tout cas, le gars qui vient de parler a du comprendre mon identité ça en voyant la réaction de surprise de Nevan. Ca veut dire qu'il a parlé de moi depuis mon départ, et à priori depuis l'accident. Comment ça me fait chaud au coeur, je lui sauterai bien au cou, à Nevan, mais ça serait déplacé. Peut-être plus tard, on verra ça, pour le moment, le besoin de survie ne m'a jamais semblé si impératif, c'est dire si je suis finalement ravie de le revoir, mon ex. | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 15 Juil - 21:46 | |
| Je n'ai jamais vidé autant de chargeur en une seule fois, mais je sens bien que je ne le referais plus. Mes flingues sont vides, il ne me reste qu'un chargeur en place... C'est terminé pour moi, mais je ne pense même pas à reculer davantage. Pour un peu, je penserais même à foncer sur les zombies pour tenter de les ralentir. Pourquoi faire ? Pour offrir vingt secondes de vie en plus à mes camarades ? Inutile, faire le héros n'avancera à rien ici. Alors je fais glisser un chargeur hors du flingue, je mets en place le dernier que je m'apprête à vider en hurlant alors que derrière moi, la porte blindée s'ouvre et me fait vaciller puisque j'étais adossé à elle. Merde, on va se faire prendre en sandwich ? Pas le temps de me retourner, et de toutes façon Marco y a pensé avant moi, pointant le portier de son canon scié. Malgré le vacarme, je crois entendre disctinctement le "clic" d'une arme vide dont on presse pourtant la gâchette. Bon, là on est mal.
En fait, non. Une voix féminine parle en nous invitant à vite sauver notre peau. Personne ne se fait prier pour se faire et je suis évidemment le mouvement en passant le dernier. A côté de moi, un de mes gars dégoupille une grenade qu'il balance dans le tas. L'explosion me décoiffe, mais elle ne me fait pas bouger de l'état stupéfié dans lequel je suis plongé en regardant notre sauveur. Je suis d'abord tombé sur le tissu tendu sous ses seins généreux, puis sur son visage noir que je reconnais de suite. Ben merde, Gabi. Derrière moi, Marco referme la porte blindée pour nous couper des bras de la Faucheuse. Un répit bienvenu et une sécurité supplémentaire. Je vois mal un Marcheur ouvrir une porte blindée et franchement là, je m'en branle. Gabi est là, bien vivante et bien en forme... Dans tout les sens du terme. Elle a l'air aussi surprise que moi et se contente de m'acceuillir par un simple "Bouh" auquel je réponds par un grand rien, tout étonné que j'étais.
Alors que je reste raide comme une pine sous une langue agile, l'équipe elle se met en place sans perdre de temps. On doit toujours faire le ravitaillement du Refuge et on doit le faire vite. Pendant que je me reprends et que je tente de rengainer mes flingues histoire de ne pas rester là comme un con, mon ami Steve s'amuse à identifier Gabi. Je lui ai trop parlé, à celui là. Gab, c'est un peu mon jardin secret, c'est ma rose noire que j'ensemence d'amour et de plein d'engrais, merde ! Je ne boirais plus en compagnie de mes hommes. Elle confirme son idée sans me quitter des yeux et je profite du moment pour lui adresser ce petit sourire de lover à quatre sous qu'elle appréciait quand on avait fini de faire l'amour, où quand on draguait à droite à gauche pour savoir qui avait le plus de succès. Et là, je me rends compte qu'elle m'a foutrement manqué. Mais là, tout le monde attends mes instructions. En tapant un chargeur de Desert à Marco et en parlant pendant que je recharge, je prends les choses en mains sans oublier d'offrir à Gab' quelques oeillades.
- Marco, tu prends la tête. Steve, tu nous trouve un chemin vers les conserves et les rayons bébés. Elisa, tu prendra Ralph avec toi pour ramener de la flotte.
Ils acquièsent alors que je me tourne vers Gabi, un petit sourire aux lèvres.
- Toi, tu viens avec moi. Je ne te laisse pas repartir seule et évidemment, je ne te demande pas ton avis.
Me tournant vers le reste de la troupe, je leur ordonne de partir avant de leur avoir confirmé le point de rendez-vous. Pour Gab et moi, j'ai d'autres projets, que je lui explique une fois que nous sommes seuls.
- Y'a un concessionnaire de voiture quatre étages plus bas, on va se trouver un fourgon, une camionette... Enfin, tu vois le genre.
Je m'approche d'elle, trés près. Et bien que j'en meurs d'envie, je ne l'embrasse pas. Aprés tout, je ne sais pas vraiment où j'en suis. Où nous en sommes. Mais si je sais quelque chose, c'est qu'en cet instant précis elle dégage quelque chose entre la férocité et l'érotisme exacerbé, mélange détonnant et foutrement excitant.
- Tu sais que je suis content de te revoir, tigresse ? | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 15 Juil - 22:14 | |
| En fait, un éventuel tir perdu aurait touché la porte blindée avant de m'atteindre, pas folle la guèpe oui, on surgit pas comme ça derrière des gus armés jusqu'aux dents et qui croient leur dernière heure arrivée, mais je préfère autant ne pas avoir entendu de balle siffler à mes oreilles. Enfin, me voila devant Nevan qui réagit en me vouant son sourire de lover qui me fait fondre comme une glace sous un soleil estival, puis il donne ses instructions et m'incorpore d'emblée à l'équipe en me donnant un ordre personnel que je suis censé ne pas refuser, mais franchement des ordres comme ça, j'en voudrais plus souvent. Un gars me tapote l'épaule et me remercie pour le sauvetage, et un autre, et les voila partis effectuer un ravitaillement, ainsi ils étaient là pour ça. Me voici alors seule à seul avec le beau Nevan qui me propose aussitôt un plan cul, rien de moins. Je lui voue alors mon sourire ambigu, dont on ne sait si vais être amicale ou amener l'interlocuteur à donner un coup de tête à mon poing. Ha, un nez qui vient s'aplatir contre un coup de poing, quelle belle image. Je regarde Nevan, et j'en suis alors sure, il n'a plus ce regard opaque qui semblait l'affliger quand sa soeur entrait dans son champ de vision, un peu comme un mérou au départ d'un quatre cent mètres haies. De plus, s'il était encore obsédé par Divinity, il ne me proposerait pas un tel acte charnel qui avec nous deux ne peut que signifier que nous allons faire l'amour, avec les sentiments que nous avons l'un pour l'autre. Mon instinct me dit alors qu'ils l'ont fait, et qu'il y a eu un clash. En tout cas, je ne me risque pas à évoquer à voix haute Divinity alors que je m'approche de l'homme, assez près pour que ma poitrine frôle son torse musclé sans excès, et là mon sourire devient sensuel à souhait.
"Nevan, mon mâle alpha, à un moment j'ai cru que le prochain endroit où on s'enverrait en l'air serait en Enfer, même si c'est aussi un peu infernal, ici bas, mais nettement moins maintenant que tu es là. Je suis à tes ordres, chef, je te suis."
Puis je conclue en frottant mon bas ventre à celui de Nevan, histoire d'embraser ses sens déjà bien échaudés par notre adrénaline qui n'est pas encore retombée.
"Ce n'est pas ton pistolet que je sens ... je t'ai manqué hein ... tu m'as manqué ..."
Mes lèvres frôlent les siennes, y goûtera-t-il avant qu'on change de position ? Il est vrai que rester ici plus longtemps serait suicidaire, mais à une ou deux secondes près ... | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 15 Juil - 23:32 | |
| Gaby est une prédatrice, un animal sauvage dont on dompte la confiance sans jamais vraiment l'apprivoiser. Même si elle semble docile, elle reste toujours capable de vous filer un coup de griffe. Je me souviens de quelques disputes qui ont fini en round de boxe où elle me collait des pains à la Mike Tyson... Avant que je ne lui saute dessus pour lui faire l'amour tellement elle était sexy quand elle était en colère. Son plus gros coup de griffe était de m'avoir plaqué, même si c'était une sorte d'accord commun... Pour lequel je n'étais pas tellement d'accord, en fait. L'instinct de préservation l'avait emporté sur la raison et le coeur et l'Infection avait fini de recouvrir le tout sous une bonne couche de résolution.
Encore une fois, j'ai l'impression qu'elle lit en moi comme d'autres feuillettent les pages de Playboy et ça me mets mal à l'aise. Elle seule sait ce qu'elle a vu, mais je la connais assez pour savoir qu'elle ne se trompe sûrement pas. Quoique. Gabi acceuille mes ordres avec docilité, la belle d'ébène casse finalement les derniers centimètres de distance et réponds finalement à mes directives, ce qui ne manque pas de m'arracher un large sourire. Gab', Gab', Gab'... Si elle sait lire en moi, je me rends aussi compte que parfois elle fait une libre interprétation de mes paroles. Bon, la sensation de mon bassin contre le sien et son petit sous-entendu ne sont pas pour me déplaire et ont le mérite de m'exciter davantage, l'adrénaline aidant. Mes lèvres caressent les siennes sans jamais les embrasser, ma main se pose sur sa hanche alors que je colle mon front au sien pour lui répondre dans un souffle.
- Tout doux, tigresse... Si on va chercher une camionnette, c'est pour charger les vivres et pas pour la banquette arrière. Où le capot.
Désolé de lui dire ça, vraiment. Mais le moment n'est pas aux mamours ni vraiment aux retrouvailles enfiévrées. Je m'écarte doucement d'elle, espérant ne pas l'avoir froissée.
- Sortons d'ici avec ce qu'on est venu chercher, et je te promets qu'on jouera à des jeux que la morale réprouve toute la nuit, tigresse.
Afin de me faire pardonner, je lui vole tout de même un baiser savoureux et doux qui prends soin de venir chercher sa langue de la mienne, baiser que je rompts en armant le chien d'un de mes flingues.
- Il va déja falloir se rendre aux niveaux inférieurs. Je pensais aux escaliers, à mon avis ils ne sont pas si fréquentés. Où le rappel par la cage d'ascenseur, mais bon... L'idée n'est pas la meilleure que j'ai eu. Allez petit soldat, en avant et si tu as une idée, c'est le moment de t'exprimer ! Et d'un signe de tête l'invitant à me suivre, je m'enfonce dans le couloir alors que derrière nous des bruits sonores retentissent contre le métal de la porte. Quelque chose me dit que les ennuis ne font que commencer. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Ven 16 Juil - 7:59 | |
| Alors, que je compte mentalement sur les doigts d'une main le nombre de mâles qui résisterait à cet allumage des sens en règle. Calcul simple, aucun. Leur virilité aurait bosselé leur pantalon aussi sec, genre scout toujours prêt ! Pour sa part, Nevan esquive avec habileté une telle tentation, après tout il sait très bien que j'aurais pu l'envoyer promener juste avant de m'abandonner à lui, faire ça dans un parking peut-être infesté de zombies, même si c'est de l'amour, de la passion, de la rage, tout ça, on se calme hein ! Oui, il est intelligent mon ex, et il me connaît bien. Son argument de trouver un véhicule en état de marche sonne à priori faux, parce que d'une part un camion en état de marche, ça doit être rare, et puis emprunter une route encore praticable, sans compter le bruit qui attirerait tous les prédateurs des environs ... néanmoins, il doit avoir un plan.
"Sortons d'ici avec ce qu'on est venu chercher, et je te promets qu'on jouera à des jeux que la morale réprouve toute la nuit, tigresse."
"Chiche."
J'aime qu'il m'appelle tigresse. Mon sourire s'élargit, un brin carnassier puis savoure son baiser, enroulant ma langue autour de la sienne, savourant le contact de ses lèvres onctueuses avant de lui filer un deuxième chargeur et d'armer à mon tour mon desert eagle.
"Il va déjà falloir se rendre aux niveaux inférieurs. Je pensais aux escaliers, à mon avis ils ne sont pas si fréquentés. Où le rappel par la cage d'ascenseur, mais bon... l'idée n'est pas la meilleure que j'ai eue. Allez petit soldat, en avant et si tu as une idée, c'est le moment de t'exprimer !"
Tant pis pour l’amour, je me concentre sur notre rôle de survivants tenaces et le suit.
"Je suppose que tu as une batterie de voiture sur toi, dans ton barda, tu as toujours été prévoyant, mais on bouge, oui. Par contre, il y a un mutant dans la cage d’ascenseur, je l’ai repéré en me faufilant jusqu’ici. Un gros mutant, et on n’a pas de lance-roquette sur nous. L’avantage c’est qu’il fait fuir les zombies dans la cage d’escalier adjacente."
Et moi qui avais organisé un repli rapide, je n’avais pas prévu que Nevan et ses hommes devaient encore s’attarder en ce lieu, mais bon, ils ont une mission à mener après tout, et donc nous avons une mission à mener. Ce sont des aléas qu’on peut gérer, qu’on peut encore gérer. Nous voila devant la cage d’escalier, on entend le bruit du vent s’y engouffrant furieusement avant même d’y entrer. Je me cale d’un coté de la porte béante, et il faut pas être sorcier pour dire que Nevan se poste de l’autre coté. Un signe de la main de ma part, code spécifique à toutes les branches de la police, pas seulement le SWAT : j’entre. Ce n’est pas « honneur aux dames », mais je suis une ouvreuse, c’est moi qui entre et tire vite et bien, suivie des autres qui terminent, en général un kamikaze planqué et qui veut descendre l’ouvreuse. Bras tendus, flingue en avant, je bloque la respiration et me voila dans la cage d’escalier. Deux zombies étaient en train de mâchouiller un cadavre encore frais. Ils tournent la tête vers moi.
BANG BANG
Deux coups de feu, deux cervelles éparpillées sur le ciment, deux. Un pas en avant, et j’aplatis la tête du cadavre en trois coups de rangers, une précaution élémentaire pour ne pas se retrouver avec une morsure à la cheville.
"Clean."
Dis-je assez fort pour qu’il m’entende mais sans crier, même si le vent nous couvre. Même les coups de feu n'ont pas dû être entendus à plus de trois mètres, et donc pas du mutant dans la cage d'ascenseur, bien plus haut, c'est dire. En tout cas, je reste ayx aguets, flingue tendu vers le bas à nouveau pour ne pas allumer accidentellement mon ex, mon allié, mon chef, mon fantasme sur jambes, et pas de demie mesure, toujours mon chéri malgré notre rupture beaucoup trop raisonnable. Après, c’est à lui de couvrir la descente des escaliers, histoire d’équilibrer la dépense des balles et de glorifier son rôle de male alpha, héhé. | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Ven 16 Juil - 19:49 | |
| En insérant dans mon arme le chargeur tendu par Gabi, je réfléchis à ses paroles quant aux batteries et à l'indésirable de la cage d'escalier. Je vois, ma tigresse pense sûrement que les voitures et fourgons manquent. Quelque part, le raisonnement qu'elle doit s'être fait ne doit pas être mauvais, loin s'en faut. Maintenant ce qu'elle ignore, c'est que plusieurs équipe de reconnaissance et de ravitaillement ont exploré le Centre Commercial de fond en comble et on dressé un inventaire (certes approximatif) de tout ce qui pourrait nous être utile. Les véhicules figuraient sur la liste, bien que le carburant me semble être un problème bien présent. On avisera une fois au parking. Dans le clac-clac de mon flingue se réarmant, j'entreprends de lui répondre.
- Pas besoin de batteries, pas mal de personnes ont laissé leur caisse dans les sous-sols. J'aurais préféré qu'on évite de s'attarder en bas mais notre jeep est hors d'usage. Et hors de question de repartir les mains vides, quitte à repartir au Refuge à pied avec les sacs sous le bras.
Elle le savait bien, ma Gabi : inutile de penser à m'ôter une idée de la tête lorsqu'elle y été entrée. Et là, je ne comptais pas lâcher l'affaire alors que les réfugiés avaient besoin de ces denrées. Notre plan de repli habituel était tombé à l'eau mais il nous restait des options à exploiter. Et puis... Avec Gab' dans nos rangs, notre côte était sacrément remontée. Mon moral aussi, pareil que mon soldat. Le mutant était par contre une sale nouvelle. On allait donc devoir se frotter aux Marcheurs de la seconde cage ? Entre la peste et le choléra, il nous fallait faire un choix. Soit, les Marcheurs représentaient un danger moindre que le mutant, même si sur les quatre paliers à descendre tout pouvait se passer. D'un petit mouvement, je mis l'oreillette de mon talkie-walkie à sa place et le micro tout contre ma gorge. Rester en contact, toujours. Une fois paré, j'emboîtais le pas de Gab' vers les marches afin que nous finissions par nous poster à chaque côté avant que finalement ma belle ne pénétre l'obscurité. Aux aguets, je tends l'oreille et suis sa descente jusqu'aux coup de feu qui résonnent un moment. Je n'ai pas le temps de m'inquiéter que déjà elle me signale que tout va bien. Je descends donc à mon tour, me collant à elle bien volontairement le temps que nous marquons l'arrêt.
- Vivement qu'on sorte d'ici... Je crois que je pourrais te prendre là, contre le mur. Comme cette fois dans les vestiaires du commisariat, tu te souviens ?
Bon, il n'y avait pas eu que cette fois là non plus, mais au vu de la situation c'était ce qui me venait en tête d'abord. Vous trouvez que lorsque que je parle de ma Gab, j'en viens fatalement au sexe ? Pas faux. Mais Gab est ce genre de femme qui fait se sentir un homme viril, ce genre de femme qui inonde les pièces de phéromones de séduction. Partager sa vie avec elle, c'est redécouvrir le sexe chaque jour. Mais pas le sexe crade, non : cette facette du sexe où l'amour sublime l'acte, où la tendresse se ressens même dans les mots crus. On se correspondait tellement bien, elle et moi... Comme pour le lui dire, je l'embrasse à nouveau en posant une main libre sur un de ses seins pour le malaxer doucement, triturant doucement le této n à travers l'étoffe avant de me détacher pour prendre la tête de notre duo. La descente aux enfers continue et j'attends avec impatience la montée au 7ème Ciel. Je crois que n'importe quel pretexte sera bon, et je crois aussi qu'elle le sait bien.
Premier palier, deuxième palier. Arrivée au troisième palier, notre progression est arrêtée par un amas de corps baignant dans un marasme de sang et de tripes. L'odeur âcre prends à la gorge, pique le nez et soulève l'estomac. Pas de doute, cet endroit est...
- ...Un garde manger... Merde.
Sûrement le mutant dont parlait Gabi. Certains corps sont visiblement plus vieux que d'autres et jettés là depuis un moment d'autres sont frais. La bestiole est en chasse, j'en suis certain. Doucement, je me retourne vers ma partenaire et m'adresse à elle à voix basse.
- On s'attarde pas là, tigresse. Jette un oeil sur nos arrières, on trace.
Un sourire, puis un averitssement que je lance dans le micro du talkie pour que tout le monde sache qu'on est des proies avérées. Pourtant, notre route le niveau -4 se termine sans encombre et nous arrivons vers la porte siglée du chiffre du niveau et de l'inscription "parking". Comme avant, on se remet en position autour de la porte sauf que cette fois je passe le premier. Le parking semble vide sur ses dix premiers mêtres, alors je me poste derrière un pick up tellement large qu'il y 'aurait de la place pour trois.
- Clean. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Sam 17 Juil - 10:28 | |
| Je vois que mon homme ne perd pas une occasion de se lover contre moi, de me peloter, de m’embrasser et je réponds à ce baiser mais brièvement, le contexte ne se prêtant pas à ce genre de chevauchée fantastique, néanmoins les sentiments de Nevan pour moi, ce souvenir qu’il évoque, tout cela me réchauffe autant le cœur que cela commence à faire mouiller ma petite culotte.
"Je me souviens oui, de nos lèvres soudées l’une à l’autre pour que mes cris de jouissance n’alarment pas tout le poste. Je me souviens de ton sexe allant et venant en moi comme s’il était doué d’une vie propre … tu me pilonnais la chatte avec amour, comme tu le disais toi-même, et c'était tellement bon ... hmmm ..."
Ce disant, je descends une main jusqu’à son entrejambes et lui caresse son service trois pièces tellement viril au travers de ses vêtements, avant de m’écarter et de lui vouer un regard taquin.
"Il ne tient qu’à nous de nous écrire d’autres souvenirs de ce type, chef."
Nevan retrouve visiblement ses esprits sur ce dernier mot, et moi aussi, tête froide toute ça. On peut le faire ! En bons professionnels, nous continuons donc notre mission. On croise des restes de dîner, je ne commente pas pour ma part même si tout ça n’est pas beau à voir, ni à sentir, restant concentrée sur un danger potentiellement très proche, en l’occurrence un gros mutant qui nous a peut-être repérés à cause du ramdam causé par ces foutus zombies. Ainsi, tous les sens en alerte, nous atteignons le niveau -4. Je me poste avec Nevan derrière un gros pick up aux quatre roues crevées, les autres véhicules sont quasiment tous en mauvais état. A part un van noir, à la carrosserie un peu abîmée mais c’est vraiment bénin comparé au reste du parc automobile. J’analyse rapidement la situation : la rampe de sortie pour véhicule a été dégagée récemment, le van a l’air en état de rouler et il porte une marque que j’ai déjà vue pendant que mon cher chef me conduisait en ce lieu.
"Ok, tu as envoyé des éclaireurs, ils ont fait un inventaire des lieux, ça se voit aux marques qu’ils ont laissé et qui t’ont permis de nous mener jusqu'ici. Tu es toujours aussi avisé. Tout comme eux, je ne vois que ce véhicule à priori en état de rouler, les autres ne sont que des épaves, allons vérifier, oui."
Quelques enjambées, tous les sens aux aguets mais pas de zombie en vue, ce qui est paradoxalement inquiétant. Le mutant du coin a dû en manger un paquet et les autres évitent ce secteur comme un carnivore fuirait un restaurant végétarien. Clean donc, mais prudence. Là, je touche la carrosserie, elle est chaude et vibre légèrement comme si une machinerie fonctionnait à l’intérieur. Je fronce les sourcils pendant que dans le talkie, un des hommes annonce qu’ils ont trouvé de la nourriture en boite, mais pas d’ouvre-boîte. Une voix de femme annonce de son coté qu’un stock de poudre a été trouvé mais qu’elle ne se snife pas, c’est que pour les flingues qu’elle dit. En tout cas, ils nous rejoindront d’ici cinq à dix minutes qu’ils disent. Je me doute que Nevan va sourire à ces blagues entendues, mais pour ma part, je suis de plus en plus inquiète, et ça se voit ! Je tapote au niveau du réservoir. Ca sonne creux.
"Plus une goutte d’essence, ça a été siphonné, et ces marques sur la carrosserie sont artificielles, faites exprès pour tenter de fondre le van dans le décor. On dirait un van blindé banalisé, et puis si vous avez laissé des marques, d’autres en ont laissé aussi, leurs propres marques, je n’aime pas ça. Je vais donc voir ce qu’il y a dans ce van."
Nevan peut me contester cette décision, à mon regard, il doit bien voir que quand j’ai ce genre d’idée en tête, je vais jusqu’au bout, ça s’appelle l’instinct de conservation et ça me réussit plutôt bien. J’examine donc la porte à doubles battants du van. Une serrure électronique de sécurité niveau 5, rien de moins. Normalement, on ne peut l’ouvrir sans la carte d’accès, mais au SWAT, on sait qu’elle a une faiblesse dans sa structure. Je sors mon couteau suisse, fonction tire-bouchon, vrille une sous-couche de plastique et tire brusquement. La serrure est grillée mais la porte s’ouvre, me dévoilant une machine énorme qui vibre légèrement, et semble irradier une onde sonore à peine perceptible. Je soupire.
"Ca ne risque pas de rouler, sans compter le manque d'essence, la batterie est dérivée pour faire tourner ce truc. D’accord chef, je regarde ça pendant que tu me couvres."
Deux minutes, montre en main, une minute pour comprendre, une autre minute pour bricoler, et je sors du van, faisant légèrement balloter mes seins quand mes pieds touchent le bitume. Ce ne sont pas des faux, donc forcément, même si ma poitrine défie la gravité, un choc et ça ballote, huhu.
"J’ai pas acquis la science infuse hein, c’est juste que j’ai vu un employeur parler de cette machine quand mon unité a été réquisitionnée pour l’accident viral. Ce système endort le mutant dans la cage d’ascenseur, il a été évidemment placé là exprès, et je crois que j’ai un petit peu baissé son intensité ..."
Un grand vacarme nous assourdit à ce moment précis, alors qu’une énorme mutant sort de la cage d’ascenseur en défonçant le métal qui le gène comme si c’était de l’aluminium. Houla, ce colosse est si grand que sa tête frôle le plafond d’au moins quatre mètres de haut, et encore il voûte un peu ses épaules. Il nous bloque l’accès aux escaliers, et semble difficile à blesser avec nos calibres, ça c’est es mauvaises nouvelles. Les bonnes nouvelles, c’est qu’on peut toujours courir jusqu’à la rampe d’accès, et que le mutant semble comme sonné, de toute évidence toujours partiellement sous l’effet de la machine dans le van immobilisé. Pour ma part, je reste statique, ne quittant pas des yeux cette chose qui renifle l’air avant de s’approcher vers nous, enfin, surtout vers moi, avec un œil somnolant mais aussi lubrique. J’aime pas trop beaucoup ça !
"Qu’est-ce qu’on fait, chef, on court ? Il a peut-être des tentacules et si on bouge, il … ou alors, tu as une bombe H de poche sur toi. Oui, j’suis une bombe mais pas à ce point hein."
Pour un peu, je me cacherais derrière Nevan, mais si Divinity n’a peut-être plus d’influence sur son frère, rien ne m’empêche alors de me réconcilier avec lui et de devenir une Macross, et une chose est sure, une Macross ne se cacherait pas derrière son homme, certainement pas ! | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Dim 18 Juil - 0:46 | |
| Je ne suis qu'un bidon d'essence et Gabi un chalumeau. Aprés ce qu'elle me fait miroiter dans la cage d'escalier, j'en suis encore à me demander pourquoi je ne me suis pas enflammé et pourquoi je ne l'ai pas prise dans l'instant histoire de refaire ami-ami avec ses orifices divers et sa poitrine généreuse que je malaxais à la moindre occassion. Soit je me suis assagi avec le temps, soit je suis plus sérieux que je ne le pense... Soit j'ai fondu le dernier plomb de fantaisie qu'il me restait aprés la propagation de l'Infection et je suis devenu trop con pour répondre à un allumage en règle. C'est la reflexion qui me traverse l'esprit alors que je vois ma partenaire venir me rejoindre derrière le pick-up nous servant pour le moment de repli. Les pneus sont d'ailleurs à plat et un rapide coup d'oeil me permet d'estimer que le reste du parking ne tient pas non plus la route. A part peut-être ce van noir, sur la carosserie duquel j'aperçois la marque de reconnaissance du Refuge. Au moins, je ne nous ai pas fait descendre pour rien et ça me soulage intérieurement. Je jette un coup d'oeil à Gabi et je vois à sa tronche qu'elle a déjà fait une analyse en règle de la situation et trés probablement planché sur une estimation plus où moins adéquate incluant la suite des évènements. Me fiant à son jugement, je la laisse parler et l'écoute avec attention tout en restant aux aguets. Gab me dit qu'elle va gérer la question et je ne vais pas chercher à la contredire non plus, la connaissant assez pour savoir qu'elle ne fait rien à la légère. A moi de la couvrir le temps de son exploration, ce qui me donne le loisir de mater son superbe petit cul qui se dirige vers la carcasse de la fourgonnette et d'écouter le rapport de mes équipes. Ces cons me font sourire alors que je leur réponds que de mon côté aussi, ça avance. Le rassemblement est vite organisé , signal pour ma tigresse et moi qu'il est temps de sérieusement se bouger. Une fois les environs assurés, je la rejoins non sans veiller à me faire discret et à prendre un point d'observation avec le moins d'angles morts possibles. Collé à la carosserie du van, je l'observe alors qu'elle ausculte la taule alors que son visage s'assombrit et que son regard se durci. Là, quelque chose ne va pas et elle me le confirme rapidement. Ok, elle est plus douée que moi. Je n'ai même pas vu les marques dont elle parle et je n'ai pas réalisé que ce van était tout sauf honnête. Merde, je n'étais pourtant pas un mauvais flic de terrain, à l'époque ! Bon, peu importe ma fierté de défenseur de l'ordre, ça ne nous avancera à rien. J'accepte son verdict d'un hochement de tête, bien que l'oeillade que je lui lance doit suffire à lui faire comprendre que l'idée d'ouvrir ne me plaît pas. Tss, comme si elle allait daigner m'écouter. Tant pis, je profite pour prendre une leçon de tire-bouchonnage de serrure électronique avant de pouvoir poser les yeux sur un appareillage qui m'est totalement étranger. Apparement, ça ne pose pas de souci à Gab, qui se propose d'approfondir le sujet. Elle m'agace, parfois...
- Merde, tigresse, tu me fais chier ! Il faut que tu mette tes pattes sur tout ce qui traîne, sérieux ?
J'ai beau gromeller, elle ne semble pas y prêter attention. Petite garce bien roulée, va ! Tant pis, je décide de me concentrer sur le décor et me rends compte que quelque chose cloche. C'est trop calme, ici. Ce genre de trou à rat devrait puer le Marcheur mais je ne perçois aucun mouvement, aucun son. Ballon. Alors à moins que les zombies soient devenus furtifs, ils ne sont pas là. Le mutant sûrement, les animaux sentent le danger et s'en écartent. Et franchement, je ne suis pas sûr que ce soit une SI bonne nouvelle. Ah, Gab redescent son petit cul et ses gros seins qui ballotent au contact du sol. J'adooooooore ses nichons et elle le sait, puisque je n'arrêtais pas de lui dire, de jouer avec, de lui acheter des hauts et pièces de lingerie sexy. Un moment rivé sur ses globes, je finis par lui répondre.
- T'es passée de Playboy au Petit Bricoleur, ma belle ? Bref, c'est quoi au juste ce système ? C'est de qu...
Je suis interrompu par une des portes de la cage d'escalier qui vient de voler avec force à travers le parking, enfoncée de l'intérieur pour libérer le mutant dont Gab' m'avait parlé un peu plus tôt. Un truc immonde, déguelasse. Deux bons mêtres de chair pourrie et verdâtre, aux muscles massifs et aux mains griffues. Instinctivement, j'ai un mouvement de recul mais je me reprends vite et mets la créature en joue. Si ce que Gab a dit est vrai, il doit être au moins un peu sonné et je compte là-dessus pour la suite des évènements.
- Pour le moment, y'a que moi qui te fais sauter, tigresse. Désolé, tu ne te fera pas un nouvel ami aujourd'hui ! Bouge moi ce joli petit cul et au pas de course !
Sans attendre, j'attrape son bras de ma main libre et la tire vers moi pour lui secouer les puces. On doit se bouger, fissa ! Et je ne la laisserais pas sur place, ça jamais ! Il nous reste la sortie opposée, là où sont sensées sortir les voitures. Avec un bon sprint et quelques balles bien placées, on peut sûrement envisager une retraite stratégique sans trop de bobos.
- Passe devant, trésor. Ouvre le chemin, je vais faire en sorte que notre copain ne te fasse pas un petit dans le dos.
Qu'elle parte, je sais qu'elle n'aura pas de soucis jusqu'a la sortie et je vais en profiter. Et foi de Macross, le mutant grognant et semi-lubrique ne la touchera pas même si je dois l'arrêter avec les dents. Je préviens la troupe par talkie-walkie de se mettre en stand-by et je commence à reculer, l'arme levée sur ma cible et prêt à faire feu. Mon calibre ne l'arrêtera pas et je le sais, mais c'est toujours mieux que rien. Allez Gab, grouille... Un bruit que je n'attendais pas me fait sortir de ma concentration : des pneus crissant sur le bitume, un vombrissement de moteur lancé dans une course folle. Le fourgon -car c'en est un, j'ai le temps de jetter un oeil - finit par s'arrêter et ouvre brutalement ses portes sur ce qu'il convient d'appeller un commando armé. Ces types ne sont pas du Refuge et le font vite comprendre, puisqu'ils nous mettent en joue alors que le mutant semble devenir amorphe.
" Les flingues par terre, allez ! MAGNEZ VOUS L'CUL, BORDEL ! PIS A G'NOUX ! "
Le barbu aux cheveux gras n'a pas l'air de plaisanter. Tout prêt de Gabi, je donne l'ordre à cette dernièr d'obéir. Faire les Zorros ne servirait à rien du tout et je ne compte pas perdre bêtement celle que je viens de retrouver. Pourtant, j'ai du mal à encaisser la situation et je serre les dents en obtempérant, jettant mes Deserts avant de m'agenouiller les mains sur la tête. Ainsi maîtrisés, ni Gab ni moi ne sommes plus les acteurs de la scène. Un type à lunette fait quelques pas vers le Mutant et lâche que "la marchandise est prête à être récoltée", ce à quoi un rouquin réponds par une autre question à l'intention du barbu :
" Et eux, Rolf ? On en fait quoi ? "
" On emballe tout pareil. Le brun finira dans des bocaux de formol et la black comme petite pute perso. Huhu, je la vois bien se faire baiser à longueur de journée... Un cul de négresse, ça se bourre sans fin, gamin ! "
Ce faisant, il s'approche de Gab et se penche pour pouvoir saisir à pleine main un de ses seins qu'il malaxe avidement pendant que ses collègues se marrent comme des putains de baleines. Ce gros sac de merde me dégoute à la toucher comme ça et je lui fais comprendre et me redressant d'un bond pour lui foutre en travers de la gueule un de ces directs du gauche dont j'ai le secret. Le type pousse un cri et s'étale à terre dans une gerbe de sang venant de son nez pété. Mauvaise idée, puisque pendant qu'il se roule à terre un de ses potes vient me coller un coup de crosse dans la mâchoire avant de me coller le canon de son uzi sur la tempe. Sonné, je ne l'entend pas me dire que " C'est la fin du voyage, fils de pute " alors que son doigt se crispe sur la détente. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Dim 18 Juil - 11:13 | |
| Alors que le monstre se dirige vers nous, et surtout vers moi, je me dis qu’à l’avenir je devrai impérativement compter aussi sur l’instinct de Nevan, sur celui de nos alliés, enfin quoi, pas que sur le mien qui peut connaître des défaillances, car tout ne se passe certainement pas toujours comme prévu, loin s’en faut. J’ai évidemment une sorte d’excuse, le fait d’avoir survécu dernièrement toute seule, mais ça ne prévaudra que pour cette fois. Nevan le sait, comme l’a prouvée sa réticence à me laisser bricoler dans le van, mais il m’a laissé agir, c’est aussi pour sa confiance que je l’aime. En l’occurrence, tout ce qui suit était prévu de ma part, anticipé, tout ça. Après la chance des débutants, la chance de la pro, niark. Ainsi, mon valeureux chevalier prend l’initiative en m’emmenant vers la sortie sans quitter des yeux le monstre dont la lubricité se voit aussi à cette énorme bosse qui déforme la sorte de pagne qui le vêtit. Oue, ben, non merci hein. Le seul mec bien membré que j’accueille dans mon intimité, c’est Nevan et certainement pas ce mutant. Le monstre ne me demanderait pas mon avis, mais c’est comme ça ! A ce moment-là, les propriétaires du van arrivent, dans un autre véhicule, avec un certain professionnalisme. Jouant sur l’effet de surprise, ils débarquent en force et nous mettent en joue. Personnellement, je m’y attendais, misant même sur le fait qu’ils joueraient l’économie de munitions en ne nous abattant pas de suite. J’obtempère à l’ordre de Nevan d’obéir donc et de me mettre à genoux, et pour ma part je ne tiens déjà plus mon arme, ce qui ne signifie pas que je suis mains nues. Se croyant en zone sécurisée, les mercenaires parlent d’emmener le mutant neutralisé avec eux, et nous aussi, réservant un sort peu enviable à Nevan et finalement encore moins à moi, l’idée de voir ces gus me passer sur le corps n’étant pas la bonne nouvelle du jour, une agréable perspective d’avenir. L’affaire semble néanmoins entendue pour un ennemi barbu qui me pelote le sein. Mon homme se fâche alors et est à deux doigts de se faire plomber quand je dis à mon sens la seule chose qui peut désamorcer la sanction :
"Au fait, merci hein."
A ces mots, le barbu décrispe son doigt de la gâchette et me regarde un peu stupidement, ne s’étant pas attendu à une telle réplique, plutôt à une supplique.
"Quoi ?"
Je poursuis tranquillement :
"Merci pour le van, on va le prendre et vous laisser avec le mutant, il a l’air d’avoir encore faim."
"Mais qu’est-ce qu’elle dit la négresse, elle a fumé quoi ?"
Le barbu ne comprend pas, il rigole, puis il voit la petite télécommande dans ma main, que j’active en souriant.
"J’ai un peu bricolé votre système pour le désactiver à distance, avec votre propre matos. Hoho, vous n’avez plus le contrôle sur la grosse bestiole."
Il n'y a pas de fumée sortant du van immobilisé pour symboliser l'arrêt de leur dispositif mais ça ne marche plus. La preuve, le mutant semble alors s’éveiller totalement, entrant dans une rage folle comme s'il avait compris qu'on s'était joué de lui. Il tend la main avec une rapidité étonnante et arrache la tête d’un des mercenaires comme si c’était une canette de bière, pour ainsi dire, je ne trouve pas d'image plus appropriée. Avec un sang-froid étonnant, les autres ennemis ouvrent le feu sur le mutant mais le chatouillent à peine. Ho, le beau massacre qui s'ensuit. Ha oui, il a encore faim le mutant. Comme tétanisé, le barbu regarde cette scène disons … à la fois gore et gastronomique, il en oublie même ma présence, pas longtemps, il entend alors ma voix impitoyable pour le coups :
"Qui tu traites de négresse, le castra ?"
Il se tourne vers moi mais trop tard, le voila qui se plie en deux quand je lui envoie mon genou dans les parties, de toutes mes forces, le faisant crier de douleur de façon fort peu virile, dans les aigus quoi, puis je lui assène un coup de tête bien violent qui l’envoie valdinguer vers le monstre.
"Et merci de faire diversion. Chef, on s’arrache !"
Quelques enjambées et on est sur le van ennemi, pas celui immobilisé, celui qui a servi aux mercenaires pour nous attaquer. Un autre automatisme chez nous deux dans ce type de situation, Nevan file coté conducteur tandis que je bondis par l’arrière et tombe nez à nez sur le chauffeur qui préparait visiblement la cage pour transporter le mutant. Enfin, nez à nez, c’est l’expression, pour être précise, c’est front à nez. Mon coup de tête lui aplatit son pif et d’un coup de coude rageur, je le chope à la tempe et l’envoie valdinguer contre l’une des parois, brandit un flingue vers lui et tape du plat de la main un code entendu par Nevan car le véhicule s’élance sur la rampe de sortie. Derrière nous, le mutant réduit en miettes et dévore les mercenaires en prenant son temps, ce qui nous arrange bien !
"Toi le prisonnier, tu ne tentes rien de débile ou je te fais un troisième œil tout rouge au front. Rassure-toi, on n’est pas des salauds, nous, tu seras bien traité."
Malgré le fait qu’il a le nez pissant le sang et un déjà un gros hématome à la tempe, le chauffeur ricane en me regardant, je crains alors qu’il n’ait une arme sur lui, ce qui est le cas mais pas celle à laquelle je pensais. J’entends un craquement de sa mâchoire et je comprends trop tard, le gus s’écroule raide mort, une bave verdâtre aux lèvres. Capsule de Cyanure … ces types étaient donc des professionnels et déterminés à se tuer si nécessaire, incroyable. J’aime vraiment pas ça.
"Et merde."
Le van s’immobilise alors. Les portes à doubles battants sont toujours ouvertes, alors j’aide les hommes à déposer les vivres et une grande caisse qui doit contenir la précieuse poudre à canon. Pas de signe de zombie, ni du mutant, je préfère néanmoins ne pas perdre de précieuses secondes à descendre du van pour rejoindre Nevan dans le compartiment conducteur, car chaque seconde est même vitale. En une seule seconde, la route peut être bloquée par une horde de zombies, voire des mutants encore plus gros que celui du parking, sans compter ce dernier qui peut se lancer à nos trousses une fois son dernier plat englouti. A regret, je tape donc sur la paroi et le van démarre aussitôt, tandis qu’un homme ferme les portes à battants. Je m’adosse alors à la paroi en soupirant.
"C’était chaud … quoique, vous êtes encore plus chaud, vous. Hum, vous faites quoi là ?"
Hoho, il y a trois mecs devant moi qui dénudent sommairement l’autre femme du groupe, laquelle me sourit de toutes ses dents en se laissant faire, mais consent à me répondre :
"Un petit pari si on survivait. Ca te dit ?"
Ma réponse fuse aussitôt :
"Oui, mais pas avec vous hein."
Ils ne me calculent même plus alors que le van suit un chemin bien précis dans les rues. Ils ne se dénudent même pas totalement. Les treillis sont à peine baissé sur les cuisses, et un des hommes pénètre déjà d’un trait la femme par derrière, tandis qu’un autre la fait se pencher en avant et lui enfonce sa virilité dans la bouche, pour leur plus grand plaisir à tous deux. La décharge d’adrénaline, tout ça … holala, cette vision embrase mes sens, je m’imagine avec Nevan, je ne sais pas où on va mais j’espère que ce n’est pas loin. Bien excitée, je tue le temps en cherchant le mouchard propre à ce type de véhicule. En fait, il n’y a pas trente-six endroits, les ingénieurs étant vraiment peu imaginatifs, et je trouve le dispositif espion alors que le quatuor a changé de position, la femme prenant alors son pied sous la forme d’une double pénétration pendant que ses cris de plaisir son assourdis cette fois par un autre mâle qui baise copieusement sa bouche. Je désactive le dispositif, n’ayant peut-être pas le temps de mener nos ennemis plus que présumés sur une mauvaise piste, puis tape avec ma lampe torche sur la parois qui me sépare de mon homme, en un morse naturellement compréhensible pour nous tous, même si le reste de l’unité n’a pas la tête à l’écouter :
M-O-U-C-H-A-R-D-T-R-O-U-V-E-S-U-I-S-T-E-M-O-I-N-P-A-R-T-O-U-Z-E-A-R-R-I-V-E-B-I-E-N-T-O-T-M-O-I-T-E-V-I-D-E-R-L-E-S-C
Mon dernier mot est interrompu par le passage du van sur un ni de poule qui fait tomber ma lampe, heureusement anti-choc, et puis Nevan a du parfaitement comprendre le sens de mon désir car je sens le van accélérer un peu ! | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Dim 18 Juil - 19:24 | |
| Le coup de crosse ne m'a pas loupé et même à moitié dans les vapes, je sens le froid de l'acier du canon qui me tient en joue et qui compte certainement me faire sauter une bonne portion de la boîte crânienne. C'est marrant, mais je ne pense qu'a deux choses : Divi qui va me faire la gueule si j'y passe maintenant, et Gab qui ne mettra jamais cette robe blanche à volants. Ouais... Une robe de mariage. Jamais je lui en ai parlé, la faute à Divi mais aussi à l'idée certaine qui m'avait toujours fait pensé qu'elle me rierait au nez si j'évoquais seulement l'idée. Merde.
Pourtant, je ne profite pas du tir fatidique. Non, Gabi semble avoir une idée en tête et l'expose à son barbu. Je ne comprends pas tout, mais je le sais à la voix de Gab : ça va chier dans les rangs. Quand elle prenait cet air là pendant une descente dans des planques de gangsters, on prenait des paris sur le nombre de dents qui sauteraient de leurs râteliers. Je ne sais pas ce qu'elle compte faire, je ne sais pas comment... Mais je sais qu'il faut vite que je me remette. Allez, Nevan, debout ! Je concentre ce qui me reste d'esprit pour rassembler mes idées, je frappe le sol de mon poing jusqu'a m'en faire saigner les phalanges pour que la douleur m'aide à accumuler davantage d'adrénaline, de jus. Foi de Macross, je ne vais pas laisser ce genre de trou du cul me mettre à terre, le spectacle continue et ce n'est pas ma sortie de scène. Par contre, les figurants retournent aux vestiaires, eux. Le mutant semble retrouver toute sa vigueur, ce qui donne l'occassion aux mercenaires d'ouvrir le feu pour venger leurs copains. Je me relève aussi vite que je le peux, juste pour assister au coup de boule magistral que Gab' assène au barbu qui était déjà plié en deux. Celui là, il y réfléchira à deux fois avant de toucher ma poulette. Le mutant semble apprécier l'apéritif, puisqu'il l'éventre sans attendre pendant que j'hurle dans le talkie-walkie que c'est le moment de plier bagage. Gab' m'intime de filer mais je prends le temps de ramasser un AK-47 sur le sol histoire de ne pas rester désarmé trop longtemps, puis je fonce à la suite de ce merveilleux cul qui déboule devant moi. Rapidement et sans un mot, Gab' et moi nous désignons les rôles. Je serais le chauffeur de cette caisse pourrie pendant qu'elle s'occuperait de faire le valet de chambre en délogeant les éventuels indésirables à sa façon. Ma tigresse, c'est un peu Barracuda de l'Agence Tout Risques, en vachement plus baisable quand même. Pas de clés, bien que ce ne soit pas vraiment utile. A force d'arrêter des voleurs de voiture, on apprends comment ils font et ont le fait parfois mieux qu'eux. Quelques mouvements de poignets, un juron où deux pour faire bonne mesure et voilà que les fils sont tripotés et que le moteur se mets à vrombrir. Personne ne résiste à Nevan-les-doigts-de-fées ! Juste à temps, puisque le choc contre la paroi derrière mon siège me fait comprendre qu'on peut filer à travers le parking, soit juste ce qu'il faut pour attraper la team au point de rendez-vous convenu. Ils sont là, entiers et au complet. Dans le rétro, je les vois charger le matos et monter à l'intérieur et je ne peux que pousser un soupir de soulagement et démarrer en trombe une fois que le nouveau signal tombe. Il ne m'en faut pas plus pour lancer les cheveux du moteur sur la route, nous faisant sortir de la bouche du parking comme une merde d'un cul plein. Concentré sur la route, j'entends pour le message en morse qui provient trés certainement de Gab', puisque d'aprés elle les autres s'amusent ensemble. Amusé et excité par la promesse de ma tigresse, je mets un coup d'accélérateur juste aprés avoir percuté un zombie un peu traînard. A vrai dire, je me serais bien arrêté pour faire monter Gab mais elle comme moi savons bien que ce serait peu judicieux. Alors que le van file sur la voie rapide, j'espère seulement que personne ne se la fera avant moi.
***
Il aura fallu trois quart d'heure pour relier la mairie et donc l'enceinte rassurante du Refuge. Les routes sont encombrées et dangereuses et Cross Roads n'est pas au plus près de notre repaire. Pour preuve, le jour meurt alors que nous passons les sentinelles du garage dont je descends lentement la pente. Un petit coup sur la paroi pour prévenir les fêtards de l'arrière qu'il est temps de remballer les jouets pour être présentable et me voilà à me garer dans le dépôt. Une fois stationné, je m'effondre dans le siège conducteur pour souffler un peu en me passant une main sur le visage. Un garde sûrement inquiet tape à la porte que j'ouvre pour sauter hors du véhicule.
- Ca va, Leader ?
- Ouais... La sortie a été... Musclée. On a perdu Connie, préviens sa soeur, tu veux ?
- Merde... Pourquoi le reste de l'équipe ne descend pas ? Blessés ?
Je ne peux m'empêcher de sourire en m'adossant au van un instant.
- Disons qu'ils récupèrent. Dis leur de décharger et ranger les provisions. Si la nouvelle me cherche, je suis au box 3.
A peine ai-je finis ma phrase que je le salue d'un geste de tête et que je file vers le niveau inférieur, où se trouvent les box de chaque famille du Refuge, là où sont entreposés les effets personels. C'est un coin tranquille, surtout que le 3 est un peu loin de tout. Désolé pour Gab de ne pas l'avoir prise au passage, mais j'ai le coeur un peu en berne. N'oublions pas que Divi' a disparue et qu'a présent, je sais qu'une sorte de milice court les rues de Raven Falls. Petite conne, si ces gus lui tombent dessus... Sans compter la perte de Connie et les pertes subies par l'ensemble du Refuge. C'est beaucoup pour juste moi, je dois dire.
Mes pensées noires me font tout de même arriver devant le box, que j'ouvre rapidement. C'est en fait un vieux contenaire, rempli d'un fouillis que Div et moi avons entassé là. De vieux meubles dont un canapé lit, des cadres photos, nos vieux uniformes de flics et surtout dans un coin, ma bécane. Une superbe Yamaha dont le réservoir et vide mais que j'entretiens avec amour. J'ôte ma veste de cuir pour me retrouver en débardeur blanc maculé des tâches de la sueur qui roule en perles salées sur mes muscles encore tendus et saillants. Je chope une bouteille de vodka que je garde là comme un petit secret honteux et je m'assois sur la selle de ma moto, avant de m'enfiler une bonne rasade.
Aprés, je verrais pour m'enfiler Gab' mais d'abord je broie un peu de noir. C'est tout moi ça, aucun sens des priorités. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Lun 19 Juil - 0:06 | |
| Le voyage dure quarante-cinq minutes, moi qui m’attendais à quelque chose comme quinze à vingt minutes au grand maximum. L’unité de Nevan a le temps de se payer trois orgasmes chacun, un peu plus pour les mecs. Puis nous voila à destination. Woa, un Refuge bien protégé, bien organisé. Par contre, mon mâle alpha a disparu dès l’arrivée, j’ai à peine le temps d’aider nos chers alliés se rendre plus présentables, à parfumer le van pour que ça sente juste la sueur et pas davantage, et il a joué les filles de l’air. Dans le box trois, qu’il a dit que la nouvelle pouvait le trouver, et des nouvelles dans le coin, y en a qu’une là, moi. Moi qui suis restée pure comme la neige pour lui, me contentant de bouffer à peine la chatte de ma coéquipière, à déguster sans modération, je me dis que mon homme se fait désirer. Ou il y a davantage, et je suis sure qu’un simple regard de Divinity m’en dira plus, alors je demande où je peux la trouver, mais elle n’est plus là qu’on me dit. Elle a quitté le Refuge qu’on me répond sans savoir de quoi on parle vraiment, et je commence à comprendre pourquoi Nevan s’est ainsi isolé, enfin, je crois comprendre en tendant un peu plus les oreilles. Une petite douche pour me rendre hum, coquette pour ainsi dire, propre en tout cas, et me voila au box trois, trouvant l’homme assis sur la selle de sa moto, une bouteille de vodka à la main l’air de déprimer grave. En le voyant, je me dis qu’on s’est peut-être un peu trop allumés pour des retrouvailles, mais l’adrénaline, tout ça, d’ailleurs je connais une fille qui a eu sa dose de sexe en un seul trajet urbain. Ou pas. Maintenant, on a la tête froide et la réalité nous tombe dessus comme un couperet.
"J’ai vu de la lumière …"
Je le dis sans humour pour ne pas l’irriter davantage hein, puis m’adosse tranquillement à la porte de la box.
"Tu as un problème, tu désires parler, ou juste que je te serre dans mes bras ?" | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Lun 19 Juil - 13:34 | |
| Sombrer dans la déprime dans un univers comme le nôtre, c'était un peu jetter son flingue un plein milieu du champ de bataille et se dresser devant les fusils ennemis. Pas mal de choses m'avaient fait tenir jusque là : Divinity surtout, puis l'idée qu'avec le Refuge je pouvais encore être utile. Il y avait eu aussi l'espoir jusque là un peu fou de retrouver Gabi en bonne santé même si ça aurait encore causé quelques querelles familiales. Parfois, je m'imaginais dans un parfait couple à trois, petit trio amoureux autant que sexuel qui je le savais n'aurait pas déplu à la Tigresse. Ce n'était pas l'avis de ma soeur qui avait cette fâcheuse habitude de ne pas partager. Bah, les fantasmes ne sont pas fait pour être vécus, paraît-il. Tout ça m'était tombé dessus avec la chute de l'adrénaline. Il avait fallu que j'accepte tout ça, ces échecs et succès relatifs qui constituaient mon parcours jusque là. Mais dans le noir, les formes généreuses et acceuillantes de ma Gab se dessinaient et s'imposaient à moi. Tout n'était pas si noir et ça valait le coup de continuer. Ne serait-ce que pour baiser Gab' encore une fois, pour qu'elle me fasse sentir vivant. Amoureux, aussi.
Une énième rasade arriva à entamer la moitié de la bouteille avant que la voix de ma SWAT fétiche ne se fasse entendre, sans humour mais avec douceur, me faisant relever la tête vers elle. Je la trouvais foutrement belle et foutrement sexy, ce qui se traduisit sûrement par mon regard lubrique et mon petit sourire en coin. La regardant et l'écoutant, je ne lui répondis pas de suite et regrettais un peu l'haleine alcoolisée que je devais avoir. Pas terrible, pour de véritables retrouvailles.
- Si on parle, ce sera de ma soeur. Et je ne pense pas que ça soit ce dont tu ai envie. Comme moi, en fait.
Je me relevais finalement et fîs quelques pas vers elle, l'attrapant avec douceur mais fermeté pour la faire s'assoir dans le canapé en lui tendant la bouteille. Debout devant elle et bien campé sur mes jambes, je la regardais, la bouffait des yeux.
- J'ai qu'une envie, là tout de suite. Te baiser, tigresse. Te prendre pour fêter nos retrouvaille, te laisser jouer avec cette queue à qui tu as manqué.
Me changer les idées. Montrer à Gab qu'elle comptait, qu'elle saurait me sortir la tête hors de l'eau. Parce que c'était elle, c'était une chose qu'elle arrivait à faire mieux que n'importe qui. Et pour donner plus de poids à mes paroles, j'ôtais mon débardeur avant d'ouvrir ma ceinture et les premiers boutons de mon jean, la forme de ma bite se dessinant sous le tissu délavé. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Lun 19 Juil - 14:10 | |
| C'est sur que je n'ai pas spécialement envie de parler de Divinity. Personnellement, plutôt que lui parler à Divinity, je préfererais lui enfoncer ma langue dans la bouche, lui sucer ses beaux seins et lui brouter le minou, fin quoi, la sauter. Hélas, elle est hétéro et me déteste totalement. Tant pis, ça reste un fantasme. Nevan lui-même n'a pas envie d'en parler, de sa soeur, ni de parler en fait. Je le laisse me soulever et me poser sur le canapé avant de me tendre la bouteille. J'aime sa façon de rester debout, comme si c'est par hasard que son bas ventre est à présent à hauteur de mon visage, et plus précisément de ma bouche. Je tête un peu le goulot de la bouteille alors que Nevan m'expose son envie de me baiser, ce qui me fait sourire. A voir la grosse bosse qui déforme son pantalon, je m'en serais doutée ...
"Dis-moi, chéri, ça va déjà mieux le moral. Je suis trop douée."
Je me mordille la lèvre inférieure alors que Nevan ôte son débardeur, me laissant admirer son torse musclé sans excès, puis ouvrir sa ceinture et les premiers boutons de son jean délavé, me rapprochant ainsi un peu plus de l'objet de mon désir.
"Ton sucre d'orge m'a aussi manquée, mon beau."
Ce disant, je lui voue un clin d'oeil et retire ma petite veste militaire et mon débardeur, me retrouvant à mon tour torse nu devant lui, lui montrant mes seins plantureux qu'il aime tant.
"Je sais mon amour, ils t'ont aussi manqué mes lolos, hein, mais assez parlé, place au plaisir ..."
Ce disant, je baisse le pantalon et le sous-vêtement de Nevan sur ses genoux, faisant se dresser son énorme queue qui vient cogner ma joue. Un jour je l'ai mesurée, trente centimètres pour une épaisseur proprortionelle ... c'est bien simple, au début, j'ai aimé Nevan malgré la taille de son sexe qui pourrait inquiéter plus d'une femme ! Après tout, c'est dans nos entrailles que cet engin entre, et si on ne mouille pas de désir, même un sexe de vingt-deux centimètres ferait mal, alors celui de Nevan ... heureusement, mon homme me fait mouiller avec facilité tellement il m'attire. Une fellation, un cunnilingus et ça glisse en moi avec facilité. En parlant de ça ...
"Ho oui, tu m'as manqué ..."
Dis-je au beau sexe, par jeu bien sur, avant de le prendre en main et de le branler tout doucement, puis à deux mains. Dans le même temps, je dépose des baisers sur la chair au goût toujours aussi exquis, de doux baisers sur sa hampe avant de donner un coup de langue rapide sur le gland décalotté, puis un plus long. Ceci fait, je prends ces bourse en bouche avec délicatesse, jouant avec ma langue, avant de donner un long coup de langue bien appuyé de la base de la verge au gland, puis un deuxième, puis un troisième et sur ce, je prends le sexe en bouche et commence à le pomper lentement sans quitter mon homme des yeux pour lire son plaisir. A ce moment-là, mes doigts caressent doucement ses bourses bien grosses, bien pleines. Je me régale et ça se voit. | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mar 20 Juil - 11:13 | |
| Gabi avait le don de mettre le calme dans mon coeur et le feu dans mon slip. L'image pouvait paraître grossière et éculée, pourtant c'était celle qui correspondait le mieux au fond de mes pensées la concernant. Je savais que si j'évoquais Divinity, le dialogue prendrait une tournure qu'elle et moi aurions largement préféré éviter. Là, j'avais décidé de rompre la discussion et de passer à la partie qui nous interessait vraiment : le sexe. Elle m'avait manqué horriblement et rien que la voir boire au goulot évoquait en moi le souvenir de pipes monumentales qu'elle m'avait offert, parfois dans des situations incongrues comme une fois lors d'une dîner entre amis où telle une nija du sexe elle s'était cachée sous la table à l'insu de tout le monde pour extraire à la bouche la sève de ma branche afin de s'offrir une petite gourmandise avant de réapparaître l'air satisfait, supprimant du bout du doigt le dernier filet de sperme qui perlait au coin de sa bouche.
- T'as toujours eu ce genre d'effet sur moi, tigresse.
Mordillant sa lèvre inférieure alors que je me déshabillais pour elle, Gabi m'avoua le manque que mon sexe lui avait procuré. Coquine petite chienne d'amour qu'elle était. Ca me fît sourire alors que je lui répondais en la dévorant du regard, admirant ses gros seins qui tendaient le tissu de son débardeur qui lui offrait un décolté du feu de Dieu.
- Il n'a pas arrêté de bander en pensant à toi, du coup il est plein de bon sucre. Mais tu sais comment ça se passe, il va falloir que tu vienne le chercher toi-même...
Je ne peux qu'admirer sa forte poitrine aux tétons de couleur sombre tandis qu'elle fait sauter sa veste et son débardeur. Hmm, mes friandises préférées me sont livrées sur un plateau et je ne m'en plains pas. Tu m'étonne qu'ils m'ont manqué, ces superbes et douillets nichons ! Je n'ajoute rien pour autant, la laissant prendre les rênes. La connaissant, je la sais affamée de queue et je sais qu'il est de bon ton de la laisser s'amuser à sa convenance. Je me fais docile alors qu'elle baisse pantalon et boxer, dévoilant les imposants centimêtres de ma queue. Oui, elle est véritablement énorme et parfois, cela m'a handicapé plus qu'autre chose. C'est un fantasme pour bien des mecs mais croyez moi, c'est surtout un fardeau. Les nanas n'aiment pas que ce soit trop gros et parfois, ca les coupe plus que ça les stimule. Avec Gabi ça n'avait pas été le cas mais il avait fallu un peu d'adaptation, même si par la suite ça n'avait plus eu d'autre importance que le plaisir qu'elle ressentais en sentant ce pieu de chair pénétrer ses orifices.... Il fallait simplement forcer un peu, parfois... Et de temps en temps, pour le plaisir. Passant une main dans ses cheveux, je l'écoutais parler à ma queue avant qu'elle ne commence à s'en occuper comme elle seule savait le faire.
Elle commence par me masturber doucement, finissant pas y mettre les deux mains. Bien que je ne sois pas encore tout à fait bandé elle en a largement la place et s'applique à le faire en déposant au passage quelques baisers doux. Elle agrémente de coups de langue plus où moins longs qui m'arrachent un soupir de satisfaction pendant que je libère son visage de quelques mêches l'encombrant. Ceci fait, elle décide de baisser la tête pour s'attaquer à mes couilles rebondies. Bon dieu que j'aime ça, lorsqu'elle prend les choses en mains ! Vivement qu'elle daigne enfin me sucer en bonne et dûe forme, ce qu'elle ne tarde pas à faire en enfournant ma queue en bouche pour la pomper avec soin et passion, me faisant de plus en plus durcir sur sa langue, emplissant sa bouche et son palais peu à peu. Les yeux dans les siens, je souris de plaisir.
- Bordel, personne ne suce comme toi... Tu la voulais, cette grosse bite, hein ? Elle te réclame depuis que j'ai posé les yeux sur toi. Et apparemment, c'est réciproque...
Crispant mes doigts dans ses cheveux, je décide de reprendre un peu la main. Tirant sur ses mêches, je sors la queue de sa bouche en la laissant se dresser devant son visage, bien dure et appétissante, luisante de sa salive. Sans la relâcher, je lui passe le gland sur les lèvres doucement, introduisant parfois dans sa bouche la seule extrémité décalotée afin qu'elle la sucotte, petite faveur que j'aime particulièrement. Finalement, je me décide à m'asseoir à côté d'elle dans le fauteuil pour nous laisser plus de possibilités de jeu. La laissant me sucer, je lui baisse à mon tour string et pantalon et use de mes mains pour venir fouiller les lèvres de son sexe déjà humide. De l'autre main, je m'attaque à son joli petit cul que je compte bien fourrer également. - Tu as bien fais de revenir, tigresse...
Et pour ponctuer ma phrase, j'introduis mes doigts dans ses orifices avec lenteur, bien décidé à m'ouvrir leurs chemins. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mar 20 Juil - 12:07 | |
| Nevan aime la gâterie que je lui offre, ça se voit non seulement à son regard, à ses paroles coquines, à sa respiration un peu plus courte mais aussi à chacun de ses gestes, à la façon dont il caresse ma chevelure, dont il libère mon front de quelques mèches rebelles. A sa demande non formulée, je lui suce seulement le gland, ce qu’il apprécie particulièrement, avant de se placer de sorte à ce qu’il profite aussi de mes orifices pendant que je continue à le sucer. Ce que je fais, prenant à nouveau son sexe bien plus en bouche, je lui pompe la queue en augmentant nettement la cadence des vas et viens de son sexe sublimes entre mes lèvres bien dilatées par ce volume énorme. Une chance que j’ai comme qui dirait une bouche à pipe ! Pendant ce temps, Nevan enfonce doucement ses doigts dans mon vagin et mon anus, s’ouvrant sans difficulté une chemin à l’intérieur tellement il m’excite, l’animal ! Je suis au anges et je m’envole peu à peu vers le septième ciel avec mon amant exceptionnel. En retour, je le pompe avec toujours pour d’ardeur pour le faire venir, éjaculer dans ma bouche mais s’il ajoute sa langue à ses doigts, ça va être dur de ne pas venir avant lui, ça, c’est une certitude !
Ca me rappelle la fois où on avait fait quelques emplettes en ville. Alors que j'étai dans la cabine d'essayage, il m'avait rejoint discrètement et m'avait doigté le chatte tout en plaquant sa bouche contre la mienne pour empêcher mes cris de jouissance de résonner hors de la cabine, dans un magasin bondé de monde. Je me rappelle toute la cyprine qui avait ruisselé de ma chatte au moment de mon orgasme, et la vendeuse dehors, qui me demandait si jamais la texture du maillot de bain. J'avais alors sorti la tête du rideau de la cabine et m'étais exclamée qu'il n'était pas assez étanche, ce qui avait failli faire exploser Nevan de rire !
Dans le cas présent, on va surtout exploser de jouissance, et j'aime tellement quand mon homme explose ainsi, me remplissant les orifices de son sperme chaud, mais aussi éjaculant en abondance sur mon visage et mes seins. Divin ! | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mar 20 Juil - 16:24 | |
| Plus Gabi me pompe et plus je sens que je vais jouir, lui exploser la bouche à coups de jets de sperme chauds, généreux et gluants. Mon excitation n'était que décuplée par la sensation exquise que je ressentais alors que la peau de mes doigts entrait en contact avec ses petits trous. Je sentais la chaleur de son vagin dont la mouille coulait le long de ma main (où presque, peut-être n'était ce finalement que le fruit de mon imagination tournée vers le désir) et je sentais parfaitement l'étroitesse de ce petit cul chaud que j'avais pourtant défoncé plus d'une fois par le passé. Il fallait croire que le passage s'était refermé depuis que nous nous étions quitté et qu'il n'avait jamais été réouvert par une autre bite. Je doutais sincèrement qu'elle se soit jamais abstenu de baiser quelqu'un d'autre tout comme moi j'avais voulu prendre Divinity mais j'eméttais autant de doutes sur le fait qu'elle ait croisé une autre queue animale comme la mienne. Quoi qu'elle en dise, jamais personne ne la baiserais comme moi. Je n'étais pas un dieu du sexe pour autant et j'avais même énormément appris grâce à ma tigresse, mais je savais que la taille de mon chibre jouait aussi dans l'intensité de nos relations.
Chibre qui lui baisait la bouche avec envie tant que je donnais des coups de reins passionnés et saccadés pour profiter de l'ouverture de sa bouche gourmande qui savait si bien sucer une bite. Oui, une bouche à pipe, c'était effectivement cela. Un don de la nature, c'était certain ! En elle, mes doigts remuaient sur des rythmes variables, mais jamais accordés. Dans sa vulve s'étaient glissés deux doigts, alors que dans son anus n'opérait qu'un seul, qui allait et venait avec passion alors que les autres eux restaient au fond de son fond sans jamais cesser de bouger. Soudain, je mets un gros coup de pied dans le canapé dont les ressorts lâchent, le faisant passer en position allongée. A regret, je retire mes doigts de Gab aprés un instant, m'allongeant pour la faire passer au dessus de moi pour entamer un petit 69. Mes yeux se fixent sur sa fente luisante de mouille, que j'écarte à deux doigts pour fourrer ma langue dans ce délicat petit intérieur rosée, le fouillant longuement alors que ma main libre vient flirter avec son clito déjà bien gonflé de plaisir. Tant pis pour son cul délaissé, il aura sûrement la compensation de se faire enfiler le premier. | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mar 20 Juil - 18:58 | |
| Mais c’est qu’il me baise la bouche ! J’adore ses coup de rein pour faire aller et venir son sexe à son rythme entre mes lèvres, il me gâte ! Je continue néanmoins à le pomper, sentant sa queue bien raide donner l’impression de palpiter comme un cœur, je dois lui faire un max d’effet. En tout cas, son doigté me fait nettement mouiller, il faut dire que je n’ai pas eu envie de me faire sauter après notre rupture, me lançant à corps perdu dans le travail, malgré des avances de mecs pas mal. Comparer Nevan aux autres, pourquoi faire, de toute façon, j’avais une expérience avant de le connaître, il les surpasse tous ! Je ne dis pas que je n’ai rien fait, quelques minous sont passés entre mes cuisses, de beaux nichons dans ma bouche mais ça, c’est différent. C’est vraiment tout de même que j’aime bien baiser avec d’autres filles, mais Nevan reste mon amant préféré ! Je continue à pomper mon homme, lorsqu’il nous allonge en position de soixante-neuf, et holala !
"Ho oui, oui, oui ! Ho oui, c’est bon !"
Je me cambre en gémissant de pur bonheur lorsque le mâle conquérant enfonce sa langue dans mon intimité. Décidément, il s’occupe davantage de ma chatte que de mon cul, j’envisage donc de savourer bientôt une sodomie bien profonde, ce qui serait sublime mais pour l’heure je jouis des qualités buccales uniques de mon homme, tout en me remettant sur sa queue que je lèche, suce et pompe avec la volonté affichée de le faire venir dans ma bouche pour me délecter de sa semence. | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mar 20 Juil - 22:06 | |
| Le 69 est un numéro qui nous représente bien, Gabi et moi. En effet, nous avions toujours fondé notre relation sur le plaisir commun, dans le sexe comme dans le reste. On décidait de tout ensemble et on envisageait l'avenir de façon à ce qu'il plaise aux deux. Qui sait si Divinity ne s'en était pas mêlée à l'époque, peut-être Gab' serait-elle aujourd'hui une Macross ? Une tigresse enchaînée à un homme qui la nourrit à la bite et au jus frais... L'image m'avait toujours fait sourire. Toujours est il qu'elle apprécie le changement de position et en témoigne par ses mots et gémissements qui arrivent à mes tympas, me faisant redoubler d'ardeur. Oui, je lui baise la bouche. Mais je sais lui rendre la politesse, puisque ma langue va et vient en elle, remuant une fois bien calée dans son intimité. Tout ce temps, une de mes mains gardent ouvertes les lèvres de sa vulve délicieuse alors que la seconde elle fait rouler le clitoris durci par le désir sous ses doigts. C'est un délice, une chatte comme celle là ! En plus, les mouvements saccadés qu'elle imprime à son bassin doivent l'aider à ressentir des sensations supplémentaires. Quant à moi, je ne tiens plus vraiment.
Au bout de quelques secondes, je fais en sorte que mon sexe tendu à l'extrême s'évade de sa bouche pour se placer à quelques millimêtres de ses lèvres, afin que je puisse gicler dans un râle de plaisir profond et rauque. Le truc, c'est que la quantité de sperme que j'expulse avec force par d'importants jets chaud est proportionelle à la taille de ma queue : c'est presque une fontaine blanchâtre qui s'étale largement sur le visage de mon amante, ses bouche et dans son palais....
- Hmmmm.... Putain, ça fait toujours autant de bien de gicler sur ta petite gueule, trésor... | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mer 21 Juil - 11:04 | |
| Nevan se déchaîne sur ma chatte, et doit entendre mes gémissements de pur plaisir malgré le fait que ma bouche est remplie par sa grosse queue, puis ce n’est plus elle qui l’emplit mais sa semence quand il éjacule. C’est aussi une bonne douche de sperme chaud sur mon visage, mais aussi dans ma bouche en une éjaculation abondante telle que je n’en ai pas souvent connue, même avec lui. J’en déduis qu’il n’a pas déchargé depuis un moment, voire même qu’il aurait du le faire mais a été retenu, comme refroidi. En fait, je ne fais pas non plus trop de théories à ce sujet, tellement ce déluge de foutre me ravit, et j’en avale le plus possible. Je me régale.
"Ma parole, Nevan, tu es un karcher vivant ! J’adore ça ... ha, ha oui, je viens, je viens !"
Sous l’effet du cunnilingus passionné, je jouis à mon tour, visualisant avec délice ma cyprine qui ruisselle sur le visage de mon homme, et dans sa bouche.
"Par l’Enfer, j’adore inonder ton visage de beau gosse sous mon jus d’amour, chéri."
Ceci dit, je passe la langue sur la queue encore raide, la nettoyant de toute trace de semence, tout en lui redonnant le désir de me prendre, en une belle érection quoi. Quand c’est fait, je viens déposer un tendre baiser sur ses lèvres.
"Il est temps d’approfondir, si tu vois ce que je veux dire …"
Je me mets alors à quatre pattes devant lui, ondulant du derrière avec sensualité.
"Viens remplir mes petits trous, mon ange, mon dieu du sexe, mon amour à moi." | |
| | | Nevan Leader du Refuge
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Mer 21 Juil - 17:24 | |
| Je me délecte du jus d'amour de Gab tout comme elle prend plaisir à récolter ma sève, la dégustant sans en laisser une goutte. Elle a joui tellement fort que je commence à soupsconner une abstinence sexuelle plus où moins volontaire. La connaissant, elle s'est sûrement envoyé une où deux jolies nanas mais n'a pas vu passer de chibre depuis quelques temps, ce qui l'a affamé. A mon souvenir, elle a toujours aimé le goût du sperme fraîchement expulsé d'une queue tendue par ses soins et en profitait largement avec moi, comme ces fois où je poussais le vice jusqu'a jouir dans un verre qu'elle dégustait comme un grand cru de vignobles français. Perverse petite cochonne, que je remplissais souvent dans des endroits différents où de façon imprévue, comme ce matin où elle était pressée et où elle n'avait plus qu'un string à se mettre, string dans lequel je me suis branlé afin qu'elle passe un moment avec la sensation de mon jus sur son corps... Je reçois sa cyprine avec gourmandise, veillant à lécher le contour de son abricot rose pour ne rien manquer. Tigresse n'est pas en reste puisqu'elle nettoie tout mon chibre, veillant à avaler tout ce qui fût expulsé avant de revenir m'embrasser, me proposant d'approfondir. Bouillant comme je suis, je lui souris largement, ce qui signifie bien que ses petits trous acceuillants vont prendre cher.
Gab fait remuer son cul devant moi avec un certain goût, ouvrant son trou cannelé au même titre que sa fente dégoulinante. Le choix est cornélien... La chatte chaude et déjà prête, où l'anus qu'il me faudra élargir de toutes façons ?
- T'es dure avec moi mon ange, tu m'offre deux belles gourmandises... Bien sûr je vais baiser les deux, mais je dois fêter nos retouvailles... Hm...
Pour m'aider à choisir, j'ouvre ses fesses à deux mains et y fourre la hampe de mon énorme sexe afin de tout simplement m'y branler, m'aidant du va et vient produit par son hypnotique petite danse du cul... C'est au bout de quelques secondes que je me décide. Je vais lui faire mal, pour la punir de m'avoir quitté. Elle ne souffrira pas longtemps je le sais bien, mais elle se sentira sûrement comme ma petite salope, comme au bon vieux temps. Saisissant ma queue à la base, je la mets en position et fait buter le gland fortement contre son anus pour annoncer la couleur. Pervers et dominateur, je me penche pour saisir à pleines mains ses cheveux et les tirer. Un peu d'abord.
- Tu m'a privé de ça en partant... Tu es une vilaine fille... Il faut assumer ta punition...
Et la douce torture commence. M'aidant de mon bassin, je fais entrer mon gland dans son petit trou non sans forcer. Hm... Elle est étroite et la grosseur de ma bite furieuse n'arrange rien pour elle. Mes centimêtres continuent leur avancée et j'avoue un instant me demander si je ne vais pas la déchirer. Heureusement, ma bite à été bien lustrée de sa salive et j'ai un peu travaillé son cul. Ooh... Quel bonheur d'entrer là dedans, mes amis... Gabi a un cul qu'elle sait superbe, hypnotique. Et peu de personne ont le loisir de littéralement le défoncer comme moi en cet instant et croyez bien que je prends mon pied à l'ouvrir comme ça... Enfin, je peux me caler au fond de ses entrailles dans un soupire rauque. Remuant doucement, je l'habitue à ma présence en elle.
- Voilà comment je dompte les... Hmpf... Vilaines tigresses... | |
| | | Gabi Houston
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| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 22 Juil - 8:34 | |
| La première chose à laquelle je pense lorsque Nivan enfonce sa queue dans mon cul, c’est que l’utilisation de vaseline n’aurait pas été du luxe, parce que sa pénétration me fait très mal, d’autant qu’il y va de bon cœur ! De toute évidence, mon derrière lui avait manqué, et puis vue la façon dont je l’ai agité sous ses yeux avides, je devais m’attendre à être démontée. Non pas que je n’aime pas ça, mais sur le coup, je me cambre et me mord les lèvres pour ne pas crier. Si je me lance dans le numéro de la vilaine, si on commence à être tous les deux vulgaires, je sais que notre désir en sera moins fort. Au contraire, c’est le moment ou je suis plus que jamais douce et tendre avec mon homme, comme j’aime et comme il aime ! J’attends donc quelques secondes, que la douleur ne disparaisse pas, bien sur, mais que le plaisir survienne, un immense plaisir encore plus imposant que la queue dans mon cul, et je tourne la tête vers Nevan, lui vouant mon petit air de biche effarouchée qui l’excite tant, avant de lui dire d’une voix de petit sainte nitouche :
"Ho oui mon maître, j’ai été une vilaine fille, mais de quelle punition parle mon maître ? Actuellement, je ne ressens pas grand-chose …"
Ca c’est ce qu’on appelle de la provocation ! Il n’est pas vain de penser que je vais en prendre plein le cul, que je vais être pilonnée par les coups de boutoir de mon mâle ! C’est tout de même le but de ses paroles sucrées ! | |
| | | Nevan Leader du Refuge
Messages : 141 Date d'inscription : 08/06/2010 Age : 39
Feuille de personnage GRADE: Leader du Refuge BON A SAVOIR & INVENTAIRE: SEXUALITE: Hétéro
| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Jeu 22 Juil - 19:17 | |
| Aprés son petit numéro de pucelle blasée, vous conviendrez qu'il m'est impossible de rester de marbre. Dans mon corps et dans mon esprit, le désir et l'envie sont comme une sorte de magma bouillonnant dont la chaleur brutale me coupe la réflexion et le discernement au profit de la simple bestialité sexuelle qui n'est pas sans être piquée par mon égo de mâle. Me dire qu'elle ne ressentait rien, c'était tout de même attaquer mes compétences et surtout, SURTOUT, la taille de ma queue ! L'honneur d'un mâle réside finalement dans quelques centimêtres et là, Gabi l'a directement remis en question. Bien sûr, en temps normal je sais pertinemment que la simple taille de mon dard suffit à la faire gémir, que ce soit de douleur où de plaisir. Mais là, excité comme je suis... Je ne réalise même pas que le simple fait d'avoir un machin de cette taille dans le cul doit être aussi contraignant que sexuellement jouissif. Tirant séchement sur ses cheveux que j'ai fermement entre mes doigts afin de retenir son attention alors que je m'adresse d'une voix dure teintée par l'envie et la perversion.
- Tu ne ressens pas grand'chose, esclave ? Il faut que je te fasse réellement mal pour que tu gémisse mon nom ? N'oublie pas que tu es ma petite pute et que tu n'es qu'un fourreau pour ma bite !
Grossier, vulgaire et parfaitement excité, voilà ce que je suis en cet instant. Tigresse le sait : Je ne suis pas toujours comme ça. Non, je suis même plus souvent doux et tendre lors de nos rapports. Mais là et tout de suite, je ne suis qu'un taureau furieux devant lequel on agite un drap d'un rouge écarlate. Alors je commence, j'entame une sodomie dure et ferme. Le premier aller-retour n'est pas évident et une fois encore je dois forcer au risque de la déchirer purement et simplement. Le passage est étroit et mon ver est incroyablement gros. Je l'enfile avec brutalité, la possédant de ma chair palpitante. Peu à peu, mon rythme s'accelère. Autour de ma tige, son anus s'écarte sans joie et je me demande dans la pénombre si ce n'est pas du sang que je vois sur ma peau alors que ma bite ressort avant de replonger rapidement. Mon amante, ma promise... Elle est mon jouet, ma victime consentante dont je gifle la fesse avec force alors que mon gland bute dans ses entrailles. A chaque fois.
- Tu ne... Hm... Sens rien, alors ? RIEN ?
Je finis par lâcher ses cheveux, prenant ses hanches de mes deux mains fortes pour amplifier le mouvement sans pitié de la pénétration anale et sauvage. Je grimace moi aussi de douleur, ma queue est compressée et le passage parfois douloureux. Je ne pourrais pas tenir encore longtemps et elle non plus. Je me contente de profiter, sachant qu'elle finira par reprendre gentimment les rênes lorsqu'elle jugera la douleur trop présente. Où l'envie de se faire fourrer la chatte, aussi. Mais en attendant, quel bonheur... | |
| | | Gabi Houston
Messages : 98 Date d'inscription : 13/04/2010
Feuille de personnage GRADE: BON A SAVOIR & INVENTAIRE: SEXUALITE: Bi
| Sujet: Re: Période des soldes : chair pas fraîche à plomber ! ( PV Nevan ) Dim 25 Juil - 11:27 | |
| Hum, je l’ai peut-être un peu trop asticoté, le Nevan, voila qu’il la joue dominateur, heureusement que je la joue roseau pour ma part, qui plie sans rompre. Il me défonce l’anus, mon mâle alpha, s’il avait fait ça avant notre rupture, il m’aurait niqué les muscles du cul, et même fait saigner, ce qui aurait mis un terme à notre acte charnel, et une blessure comme ça, ben ça met du temps à se guérir. C’est même un coup à se choper des hémorroïdes ! Heureusement pour nous, et surtout pour moi, nous avons rompu entre-temps. Une chance ? Oui, parce que j’ai flirté avec deux filles, dont une actrice de X très douée dans son travail. Une fille qui m’a appris à écarter les muscles vaginaux pour mieux laisser passer divers godes de tailles diverses et variées, même si personnellement, je mouille alors je n’ai pas besoin de ça. Par contre, l’anus ne mouille pas de désir, alors là, c’est important de pouvoir écarter ses parois anales mais pas trop non plus pour que l’amant n’ait pas l’impression d’être dans un tunnel routier. Ainsi, je sens bien les coups de Nevan mais sans être mutilée, lui laissant d’insctint ce qu’il faut pour prendre son pied, et prendre le mien avec davantage de plaisir que de douleur ! Ne pouvant néanmoins guère articuler de mots dans ces conditions, je halète sous ses coups de boutoir, me doigtant la chatte d’une main en attendant qu’il me couche sur le dos et pour me pénétrer de ce coté, à moins qu’il ait envie de me prendre en levrette, sans changer de position donc, juste d’orifice. C’est à Nevan de voir comment il veut faire l’amour à sa douce et tendre amante ! | |
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